(Le début est ICI, trop d'images pour une seule page)
nouveau tournant, on va bien vers la mer cette fois. Un puits de lumière naturelle, fermé par une grille, éclaire ce tournant. Il est situé sur la placette (terrain de jeu) |
le second tournant vu du bas la photo montre bien le canal couvert qui longe l'escalier |
la plage en vue, à droite arrive le Ribéral |
mais il faut encore passer sous le parking (celui dont l'entrée se trouve entre wagon et fresque), et sous la route - et à présent sous l'esplanade prolongée. Regards vers l'arrière |
difficile de bien prendre les parois sans grand angle; au moins , mieux vaut éviter de mêler -même à cette heure tardive de janvier- la lumière du jour et celle des néons |
on voit qu'à part quelques marches ici et là, la pente est douce |
La sortie
Voici finie la descente.
La remontée par la rue A. de Vigny sera beaucoup plus pentue...
PS: L''artiste se nomme Jean Truel, il a posé des affiches en ville.
>>> voir message du 20 août 2012
Quel dédale. Et quel travail pour creuser ce tunnel et mettre en place ces escaliers. Heureusement qu'il y a la "déco", cela y met un peu de ce ciel bleu qui lui manque.
RépondreSupprimerC'est un vrai problème que "d'optimiser" la circulation dans ces villes coincées entre montagne et mer!
Ta remarque est essentielle, Lucie, merci de le souligner.
RépondreSupprimerPetit à petit en effet, j'essaie de construire ici un témoignage sur ce gigantesque ouvrage.
Tâche qui nécessite de rassembler et synthétiser une collection de photos prises de ci et de là au fil des promenades (et mêlées à d'autres sujets), et les rares documents du net.
Je suis une curieuse qui utilise la photographie (en amateur),pas une archiviste, ni journaliste non plus.
Et le puzzle prend donc du temps, parce que ça n'est pas mon seul centre d'intérêt.
(Le libellé "gare" permet de sélectionner parmi les articles dispersés...)
J'ai déjà présenté deux autres tunnels. Et pas suffisamment le MUR. Le mur de souténement de tout ça.
La gare a fondé la ville, par les besoins en main d'oeuvre liés à l'implantation puis au fonctionnement de la voie. Raconter Cerbère, c'est raconter le rail et la frontière. La pêche et la vigne ne faisaient auparavant vivre ici qu'un hameau, accessible par la mer.
Il faut imaginer que ces tunnels n'ont pas été creusés (d'autres ouvrages l'ont été) mais au contraire réservés lors du comblement de la plate-forme nécessaire à la gare et à tous ses services annexes.
Ce dédale car s'en est bien un, permet de reconstituer les circulations coupées par le chemin de fer, en incluant tout d'abord celle de l'eau. La pesanteur ne manque jamais de faire valoir ses droits là où on aurait omis de la prendre en compte.