vendredi 29 novembre 2013

en rose en en couleurs,

timide les jours derniers, mon petit rayon d'arc-en-ciel est de retour - série 29 novembre by Claudie K
timide les jours derniers, mon petit rayon d'arc-en-ciel est de retour - série 29 novembre,

(A voir ici  nos premières rencontres, c'est un visiteur de l'hiver)
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Pour une amie qui a le blues
Bon courage !

mardi 19 novembre 2013

mûriers d'ornement

la recette des parasols by Claudie K
la recette des parasols, a photo by Claudie K on Flickr.
tressage et ligature des rameaux horizontaux, et taille courte de tout ce qui monte
n° 2 - 13 décembre 2010
mûrier platane Cerbère
La dentelle de brique est la rambarde au-dessus du mur de la gare


Il faut pour cela que les feuilles soient tombées... 
c'est rarement à l'automne. 
La  photo ci -dessus a été prise en mars 2011,
et apparemment  la taille avait été effectuée trois mois avant, et probablement avant la chute des feuilles (voir la photo n°4)



   




Le mûrier platane reste longtemps vert de plus en plus mêlé de jaune vif et clairsemé, mais c'est très lent


n]3 -
Sur la place devant le Central Hôtel janvier 2012 (un hiver doux... enfin...  jusqu'en février):
jaune mais bien feuillé, à l'abri du vent il est vrai 


4.    28 Décembre 2010  cité Many, mi-hauteur de l'escalier, arbre non taillé, portant ses derniers feuilles:
On voit que les rameaux de l'année atteignent aisément 1m




5.  celui-ci est mené plus en boule, une photo de décembre 2012
il n'est pas sur une place, mais dans un couloir de vent,
ou a-t-il été taillé alors qu'il restait des feuilles jaunes ? préparer le printemps, on peut y penser dès l'automne

 dans un bac de bord de route encaissée (entrée de ville)


6. Le même au printemps précédent (22 avril 2012)













7. en voici un autre bien au  vent, qui n'a pas été taillé (13 avril 2010) mais qui est bien souffreteux.
Vexé d'être bousculé par le vent et contraint par les humains,, il a décidé de rétablir à sa façon sa verticalité - au moyen d'un vigoureux rejet !
NB il s'agit d'un sujet à feuilles non lobées




8.   21 avril 2010 - cliquer pour agrandir












Les feuilles poussent  donc en avril


démarrage du mûrier platane
9.  Cités Many Cerbère (1° avril 2011)
- et les bourgeons floraux en même temps-


10.    9 décembre 2010, cité Many. On voit que les rameaux forment une sorte d'allée couverte, par ligature d'un arbre à l'autre








11.   Rue de la Fareille, 1° avril 2011 également. Un arbre qui n'a pas été taillé cet hiver-là, dirait-on.


et en automne même endroit


13.   20 avril 2012
Sous l'église, à l'ombre du gymnase et de la montagne, deux vues qui montrent peu de changement

12. 17 janvier 2012
















Les plantes à son pied ont pourtant bien moins souffert du vent glacial de février qu'en d'autres secteurs de la ville, entre la proximité de la mer et l'abri fourni par le rocher.

14.  alors qu' à 200 m de là,  celui du terrain de jeu a sorti ses feuilles déjà:


Voici à présent des arbres à feuilles simples, le même jour, quartier Bellevue, nettement plus en avance

 15

                     16.




17. un jeune sujet, Rue de la Fareille 13 mai 2010, on distingue ses fruits en contrejour en agrandissant
et ses fruits le 10 juillet
18.






 Les fruits deviennent ensuite noirs (comme les mûres de ronces, mais plus allongés et légèrement "tordus"
et ils s'écrasent au sol où ça fait de grosses taches, ou sur tout objet présent





















Je reviens au mûrier platane... son bel ombrage au plus chaud de la saison


19.   21 juillet 2011

c'est celui de la Pénétrante, taillé en hauteur... une belle tache de verdure mais personne à ombrer




Wikipedia:
Le mûrier à feuilles de platane ou mûrier platane (Morus bombycis Koidz., synonyme : Morus kagayamae Koidz.) est un arbre de la famille des Moraceae, originaire d'Extrême-Orient (Chine, Corée, Japon, Sakhaline), introduite en Europe au début du XXe siècle.
Il est cultivé comme arbre d'ornement et d'alignement.

Le mûrier à feuilles de platane est un petit arbre, de moins de six mètres de haut, à grandes feuilles polymorphes, le plus souvent lobées. Acceptant aisément des tailles sévères, son port naturellement étalé est souvent travaillé afin d'en faire un parasol naturel.
Ses fruits sont excellents mais on utilise souvent en arbre d'alignement des variétés stériles afin de ne pas tacher les trottoirs. Les fruits tachent également les vêtements mais ils sont excellents pour élaborer des tartes. Les oiseaux en raffolent.


Fiche Rustica





lundi 18 novembre 2013

de bien beaux balcons à hirondelles

un plaisir d'entendre et observer la chasse de ces beaux oiseaux - et de leurs vagues cousins les martinets-  les soirs d'été
- de savoir qu'elles sont en train d'occire moults moustiques indésirables

 et aussi des fourmis volantes - qui sont parfois des termites
il s'agit en fait de vols nuptiaux de ces insectes sociaux, 
certains rares soirs d'été on a pu en voir voler  dans le contrejour des nuées, 
comme si toutes les colonies opéraient en même temps,
et on les voit ensuite s'abattre - et ne plus redécoller.
A proximité de là où s'est posée une femelle
Les propriétaires de piscine se souviendront peut-être en avoir vu leur plan d'eau couvert.
Mais ce peut être sur toute autre surface.  Votre table sur la terrasse et vos assiettes....


Au travail, les hirondelles, et bon appétit! 
quelle aubaine à l'époque de l'élevage pour nourrir les petits affamés 

Wikipedia:
Les hirondelles sont des oiseaux migrateurs familiers qui installent leurs nids près des habitations (traditionnellement dans les granges et étables). Ces oiseaux font partie de la famille des Hirundinidae, dont ils constituent la sous-famille des Hirundininae. Ils symbolisent traditionnellement l'arrivée du printemps, car leur retour d'hivernage en Afrique se fait dès les premiers beaux jours, pour nicher et se reproduire en Europe. Ce voyage de retour représente un périple qui peut dépasser les 10 000 km, avec pour seul carburant quelques grammes de graisse
Dès que les petits sont autonomes, les hirondelles se mettent à préparer la migration suivante en accumulant les réserves de graisse nécessaires. Mais avant d'être autonome, chaque oisillon semble se résumer à un bec tant celui-ci est ouvert. Il attend que ses parents lui apportent de quoi se nourrir. Pour trouver toute cette nourriture, les parents parcourent en moyenne 300 km par jour ; et ce, durant trois semaines.
Comme le pigeon et bien d'autres migrateurs, l'hirondelle retrouve le lieu où elle nichait l'année précédente, lorsqu'elle revient d'Afrique. Ce qui explique peut-être qu'elle ne recolonise que difficilement les villes d'où elle a disparu, même quand les conditions de pollution ou de menaces pour elle semblent avoir diminué.
Ses effectifs connaissent une très forte régression depuis les années 1970 environ, qui tend à s'aggraver : une baisse de 84 % sur 10 ans a été répertoriée pour l'hirondelle de fenêtre (source CRBPO, sujette à interprétation, en raison de variations naturelles de populations existant également, mais jugée préoccupante par les ornithologues). Cette régression pourrait s'expliquer par la raréfaction de sa nourriture unique, les insectes volants (voir l'article pesticides, mais il est curieux de constater que des villes qui se ressemblent en ont pour certaines conservé des populations importantes alors que d'autres ont perdu leurs hirondelles). La présence de nombreux espaces boisés et d'eau dans les villes semblent des facteurs favorables.
L'hirondelle trisse.

Menaces

Les hirondelles sont des espèces protégées dans de nombreux pays, mais leur population est en régression de 30% en France et de 20% en Europe en partie à cause du réchauffement climatique mais surtout à cause de la régression ou de l'empoisonnement de leur nourriture par les insecticides et de l'altération de leurs lieux de nidification2. Il est probable qu'elles subissent aussi les effets de la pollution urbaine et il semble que lorsqu'une espèce a déserté une ville, elle n'y revienne que difficilement. Il semble qu'elles puissent aussi accumuler les pesticides, les métaux lourds, des métalloïdes et d'autres produits polluants, eux-mêmes accumulés par les insectes qu'elles consomment. Ces produits toxiques sont notamment stockés dans leurs graisses, puis relargués dans l'organisme lors de l'épuisant voyage de migration vers le sud, affectant fortement les chances de survie de l'oiseau.
Par ailleurs, les bâtiments modernes, aux matériaux souvent lisses (verre, acier, béton...), sont souvent moins adaptés à l'accueil des hirondelles de cheminée et de fenêtre, même si l'architecture HQE commence lentement à chercher à intégrer la biodiversité (Quinzième cible HQE) sur le bâti et ses alentours, tout en gérant les contraintes liées à la faune sauvage.
Les fientes peuvent également se révéler être un problème (souvent résolu par la pose d'un plateau sous le nid).
Les personnes tentées de détruire des nids d'hirondelles à cause des fientes, de grippe aviaire... risquent de fortes amendes car elles sont protégées au niveau européen. Les amendes varient en fonction du nid, s'il est vide, avec des œufs, des oisillons... L'amende minimum est aux alentours de 1 000 € pour un nid vide et allant jusqu'à 12 000 € avec une condamnation pour un nid habité.
Enfin, depuis 2004, les peurs suscitées par la grippe aviaire ont incité des gens à détruire des nids ou nichées.
Les élevages industriels et le traitement antiparasitaire des animaux privent aussi les hirondelles de nombreux insectes qu'elles capturaient dans les prairies ou autour des étables, porcheries et écuries où ces derniers se nourrissaient.

Eh bien justement, où nichent-elles donc, nos hirondelles? Pas d'étables par ici...
si... il y a bien la ferme-refuge Las Ocas, à laquelle je n'ai toujours pas rendu visite




 mais c'est assez loin dans la montagne


A Banyuls, je connaissais plusieurs emplacements de nids. Et certes, c'est une nuisance! (les fientes)
*à l'école maternelle, sous un porche, un carton au sol résout le "problème"


*en face de l'église aussi, sous un porche qui vient d'être en travaux,


 et justement...  les nids ont été détruits
- je ne sais pas par qui, car la personne auprès de qui je m'en étais inquiétée pendant les travaux savait justement que c'était interdit d'y toucher.
- Et me l'avait d'ailleurs appris, ça me paraissait utile, mais je ne savais pas ce que disait la loi.

Photos 7 juillet 2011




 Une autre espèce vue à Banyuls dans le lit de la Ballaurie (juillet 2012)
 récolte de boue ai-je pensé - ou d'insectes? les deux peut-être, les insectes en vol, et les matériaux au sol
 








la réponse,
 une des réponses, sûrement, est venue par hasard, et grâce à ma petite-fille .
Nous étions descendues en ville et la pluie était arrivée. Abritées près de la mairie en attendant notre "chauffeur"

Il suffisait de lever la tête

J'ai pensé que les nids jumelés, sur cette photo et sous un autre balcon, sont peut-être à des parents et un de leurs descendants




Je suis allée les recompter hier, d'une cage à l'autre il y a au moins 11 nids, 
et je ne suis pas allée, je n'y ai pensé qu'après, regarder à l'arrière du bâtiment.
 Si tous ont été occupés, ça représente beaucoup d'oisillons !

Je suis contente de voir que bâtiments modernes offrent eux-aussi des possibilités aux oiseaux.
En plus d'être "bioclimatiques" ils sont donc hospitaliers pour la faune.



J'ai été étonné d'y remarquer un goéland toujours sur la même fenêtre, 
photo pas encore retrouvée...
en fait, un leurre, m'avait fait remarquer ma petite fille, toujours elle. 



J'ai à l'époque pensé qu'il se veut dissuasif pour les pigeons: 
 vu ça aussi à Banyuls, rue du Puig del Mas, non loin d'où j'ai suivi les hirondelles.
Peut-être destiné aussi à écarter les hirondelles. 
J'avoue que moi-même j'évite de nourrir les oiseaux, entre autres pour ne pas subir les nuisances dues aux pigeons (et aussi parce que ça semble déconseillé, j'avais même lu interdit sur une affiche à la Mairie de Port-Vendres), 
et je n'ai pas non plus envie de planter un olivier, qui attire les étourneaux.






lundi 11 novembre 2013

mobilier urbain

Allô ... de mer by Claudie K
Allô ... de mer, a photo by Claudie K on Flickr.
sur le front de mer, elle a pris des vagues plus d'une fois !
oxydée mais en fonctionnement

je viens de lire l'annonce de sa disparition prochaine dans un article sur le nouveau relais "Accueil motard" au restaurant  "La Plage"
http://www.lindependant.fr/2013/10/21/le-premier-relais-motards-des-p-o-en-selle-a-cerbere,1802490.php
comme l'explique Jean-Claude Portella, le maire : "Cerbère est ravie de recevoir les motards de plus en plus nombreux et de nationalités très diverses. Dans quelques semaines nous enlèverons les cabines téléphoniques désormais sans grande utilité, pour aménager à la place des parkings pour les deux roues. Nous pensons que c'est là une façon très utile de participer à l'amélioration générale de l'accueil des motards sur le village".


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Par ailleurs l'abribus qui avait explosé sitôt posé (près de la cave) a été remplacé
- mais pas en verre cette fois

ah le vent...

bel abribus, tout neuf - euh...

un abribus à peine posé en février 2013, et aussitôt détruit par le vent

il était même détruit avant
... la parution du bulletin municipal  "La Lluffa" annonçant son installation !






l'abribus  nouveau est arrivé


Le nouvel abri:


Avec le vent d'aujourd'hui,
 on verra comment il aura passé l'épreuve !

positiver !

positiver ! by Claudie K
positiver !, a photo by Claudie K on Flickr.
C'était fin octobre...

entrées maritimes...

Mais ici les nuages traînants n'ont pas "accouché" de leur potentiel pluvieux
www.francetvinfo.fr/meteo/meteo-france-2/video-la-meteo-d...
Le lendemain dimanche effectivement fut très beau ... ici !

quand la seule lumière vient de la mer

oui, oui, un bateau ! de plongeurs je pense

vers quel obscur destin?

D'autres années, on a eu des jours et des jours de noir
- et de pluie

En 2011, le sol était gorgé d'eau quand un orage de trop s'est bloqué sur le Pic Joan
 - on a vu ce que ça a donné...


Alors une journée de noir, c'est bien peu,
inutile de la charger de l'angoisse de tout ce que ces ambiances remémorent


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Il y a plus à plaindre
Hommage aux victimes du typhon Haiyan
Hommage aux victimes du typhon Haiyan

jeudi 7 novembre 2013

toujours se méfier des photographes (petit délire en roman-photo)

toujours se méfier des photographes (petit délire en roman-photo) by Claudie K
 a photo by Claudie K on Flickr.


Quand j'ai entendu
"Mon chou, je vais faire de toi la vedette de ma prochaine expo photo...."

JE M'VOYAIS DEJA EN HAUT DE L'AFFICHE...


j'ai bien compris qu'il était question de mise en lumière

de révéler
sous la rude enveloppe fripée
la douceur de mon teint

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un peu inquiet de l'effeuillage, tout de même

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mais hélas tout ça n'était encore rien...

je suis passé à la casserole, oui!

- c'était ça son expo!


torturé, écartelé
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jeté dans l'eau bouillante
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j'en étais blême...
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douché, à l'eau froide!
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entassé
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dans la cocotte

- AAAAAH c'est la fin!







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MONSTRE!
... bourreau de petits lardons!

Méfiez-vous des flatteurs !





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toujours se méfier des photographes (petit délire en roman-photo) by Claudie K 
L'auteur  tient à  s'excuser auprès des personnes que cette parodie pourrait blesser et plaide les circonstances atténuantes pour son "second degré"

... non monsieur le Président, pas honte
- juste inconscience du crime commis

une impérieuse pulsion de défoulement

 face au dégoût inspiré par les loques mitées que portait la victime 
- vous pouvez les voir sur la photo Messieurs les Jurés- 
et les aleurodes (mouches blanches) qui semblent inévitables

et une réelle admiration pour ce légume
 photogénique et néanmoins savoureux,
 allié indispensable en l'hiver,
 tant par sa bonne conservation que
 par sa teneur en nutriments, paraît-il... les sources ne concordent pas sur les valeurs promises 
- mais c'est tout simplement bon à déguster, et c'est bien l'essentiel