jeudi 30 septembre 2010

Place de la République... instants de vie...


Une brèche dans le front de mer,
garez-vous si ce n'est déjà fait, et quittez la route (non, ce n'est plus la nationale, c'est le CD 914...)

entrez...
il se passe quelque chose par là...

Saurez-vous entrevoir le génie de ce lieu ?
















surplombant le Ribéral, rue...
et ruisseau quand il faut, une passerelle









une place...    LA PLACE...


des enfants qui jouent, des artistes, des gens qui passent tout simplement avec leur pain, d'autres qui font une pause sur les terrasses de la boulangerie ou du "Pop2000", habitants ou voyageurs entre deux trains, touristes... le vrai coeur du village est là, même si les palabres devant la Mairie et la grillade sur la plage ont aussi leurs adeptes

un habitué

Tous les ans, un week-end "découverte de la ville", suivi d'une exposition, propose un concours de peinture. Les oeuvres sont réalisées dans la ville dans le week-end.

Les platanes en sont un des charmes, par leur belle ombre en été,
et l'hiver par leurs grands bras tendus vers le ciel et leur écorce lumineuse qui semblent attraper la lumière pour nous l'offrir

on voit à droite la place de l'orchestre ou de la coble


Le haut mur de la gare capte la lumière du matin et fait comme un fronton
protège un peu du vent, selon les jours






























de jolies façades aux balcons attrayants...
Bref, un lieu protégé, où il fait bon s'attarder aux sorties d'école...












lieu de rencontres...

et de négociations...











d'emprunts et d'expériences











de découvertes











Asseyez-vous confortablement...
-qu'est-ce qu'on vous sert ?











ou entrez dans la danse...
sardane

mardi 28 septembre 2010

cherche, cherche...

Beaucoup voyagé avec ma collection de photos, ce matin...
Mon papillon de l'autre jour, je l'avais pris à Cerbère, mais "en montagne" il y a un an et demi :



Une de mes premières photos de papillon : il avait été d'une patience avec la photographe... (12mai2009)
Je l'avais pris pour Papilio alexanor , mais c'est bien le machaon
L'Alexanor ressemble beaucoup au Grand porte-queue ( Papilio machaon)
dont la chenille est noire puis verte et noire à points rouges et se nourrit de fenouil (Foeniculum) et de carotte sauvage (Daucus) ou cultivée, et je l'avais d'abord confondu...
Mais il est encore plus RARE ! -voir plus bas, les liens, c'est une espèce protégée,
" ... au point que son nom a été choisi par les lépidoptéristes français comme titre pour leur revue... Terrain découverts et caillouteux entre 500 et 1500m. La chenille se nourrit sur plusieurs ombellifères (Opopanax chironium et ptychotis saxifraga) tandis que le papillon visite les fleurs de Chardons et de Centranthes* rouges " [ Jean-Michel Renaud, dans "La Garrigue", un ouvrage magnifique avec photos échelle 1, que je vous recommande]
* www.flickr.com/photos/claudiek/5017128177/
mode de vie, un article passionnant et bien écrit : www.insecte.org/forum/viewtopic.php?f=2&t=14915

for english speaking friends : en.butterflycorner.net/Papilio-alexanor-Southern-Swallowt...
Par contre, pour voir la chenille... Quatre articles la montrent, 3 photos différentes... stades successifs ou mauvaise identification ? Je n'ai plus qu'à chercher le séseli saxifrage -autre nom du psychotis...
mais voici la photo que j'ai trouvé 2 fois : www.lepinet.fr/especes/nation/lep/?e=l&id=29260#

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Autres mystères résolus...
2 "OVNI" rencontrés à Lamalou s'avèrent de la famille d'un autre OVNI d'ici que j'avais déjà identifié, le grand bombyle :
sur piste DFCI AL63 -  côté Banyuls, il cherchait l'eau qui "sourçait" à cet endroit

la petite tache au centre de la photo, au-dessus du brin d'herbe

En cherchant le papillon dans un très beau livre que j'ai, plein de photos, dont beaucoup taille réelle :
La garrigue, grandeur nature  (Jean-Michel Renault),
j'ai retrouvé mon bombyle, et pour aller plus loin, j'ai fait une recherche Google...
et voilà ! sur une seule page d'un super site, ils étaient là tous les 3, mon ex-OVNI et les deux autres :

de la taille d'une grosse mouche, j'en étais restée à la famille (asilae) , mais c'est bien un bombyliidé, alors que sa tête "normale" ne m'évoquait pas de parenté avec le zonzon ci-dessus, tout en pointe comme un crayon.
c'est un Anthrax :
Hemipenthes morio, mâle ou femelle ?
elle (je disais elle, par analogie avec abeille et guêpe, même taille, mais d'après le comportement, ce serait bien une femelle ), elle a la courbure du corps en commun avec le grand bombyle, et les poils, mais je n'avais pas fait le rapport non-plus...
Je l'ai observée se trémousser, cul au sol, laissant une petite cuvette après son départ... je m'étais demandé si elle pondait (au milieu du chemin? saugrenu... rien de visible ...
Je vous présente : Anthrax villa hottentotta (ou bombyx...)
Voir:
aramel.free.fr/INSECTES15ter-11'.shtml
Anthrax-Villa hottentotta,
Femelle de Villa hottentotta prenant des grains de sable à l'extrémité de l'abdomen pour camoufler ses oeufs poisseux avant de les pondre en vol près de l'entrée des nids d'"Abeilles solitaires"
joli portrait macro 
de profil 





dimanche 26 septembre 2010

Paulilles, une friche post-industrielle redevenue site naturel et lieu de mémoire

Un article ne suffirait pas à présenter Paulilles, ancien lieu de production des usines Nobel (fabrication de dynamite...
- oui, c'est bien LE fameux Alfred Nobel qui l'a installée )
donc voir les liens à la fin...
voici juste en introduction quelques photos du parc, prises dans un but pédagogique avant et pendant la visite que ma classe y a faite en novembre 2009.


Le parc de la "Maison du Directeur" a été préservé et enrichi,
on y trouve la plupart des arbres de la région, certains de fort belle taille,
notamment toute une allée d'arbousiers (la photo suivante), très attrayante à cette saison ( faisait-il de l'eau de vie pour en avoir autant ?)
et, par secteur, y sont rassemblées de nombreuses espèces, acclimatées des différents continents.

La Maison du Directeur, adossée à la colline sud, est un lieu d'exposition, elle surplombe le parc et, au-delà, "La grande prairie", que vous pouvez voir presque en direct, grâce à une webcam du CG66.
http://www.cg66.fr/TPL_CODE/TPL_WEBCAM/PAR_TPL_IDENTIFIANT/2/80-les-webcams.htm#tpl_webcam

L'entretien de la grande prairie est confié à des spécialistes:
Ocarine, 6 mois presque à l'époque, née à Paulilles, et sa mère Vermeille, ânes catalans, race à préserver.
J'envisage à partir de mes nombreuses photos une série de fiches sur les arbres, ultérieurement , pour ne pas faire trop lourd.

Rendez-vous sur les sites du Conseil Général et du Conservatoire du Littoral
http://www.cg66.fr/60-le-site-de-paulilles.htm
webcam
diaporama

Conservatoire du Littoral


http://fr.wikipedia.org/wiki/Dynamiterie_de_Paulilles
http://fr.wikipedia.org/wiki/Alfred_Nobel
http://fr.wikipedia.org/wiki/Paulilles

jeudi 23 septembre 2010

Visiteurs au jardin


VISITEURS DE MIDI







j'étais descendue pour le papillon... mais je vous offre l'abeille aussi


( Aptènie cordée, Aptènie à feuilles cordées, Aptènie à feuilles en coeur, Aptènie cordiforme, ficoïde à feuilles en cœur, Aptenia cordifolia, Litocarpus cordifolia, Mesembryanthemum cordifolia)




















Le papillon, de belle taille, semble être le grand porte-queue (machaon).
Il s'intéressait au Centranthus ruber, une cousine des valérianes,
une sauvage - ou subspontanée - de nos bords de route,
qui est malheureusement plus souvent rose que rouge, quand j'arrive à en récupérer une, soit par transplantation (pas facile à prélever et faire reprendre), soit en évitant soigneusement d'arracher celles que les oiseaux ont apportées. Parce que ça fleurit au printemps, mais c'est remontant...
Non que je n'aime que les rouges, mais je préfèrerais juxtaposer les deux variétés.
Un bel effet en mélange rouge/rose/blanc dans des bacs, alternés avec conifères et grimpantes, sur le mur anti-bruit de la voie rapide au niveau de Corneilla-Del-Vercol














L'escholtzia n'a eu que MA visite,
ou je n'ai pas été assez patiente pour rencontrer d'autres visiteurs...

A sa gauche, une cousine des ficoïdes et des carpobrotus, au port dressé, et au feuillage bleuté... ( je n'ai pas réussi à la déterminer, la famille est vaste).

A sa droite un aloès (...?, idem)

Adventices habituelles, un tagetes - ou un bidens, à l'odeur, plutôt le premier -
et une pariétaire tentent leur chance.

mardi 21 septembre 2010

La mode des balcons (Languedoc-Roussillon )

Que ce soit à Collioure, à Sète, à Cerbère ou à Lamalou,
on peut observer une grande richesse de motifs dans les rambardes au balcon des immeubles.
Généralement en ferronnerie plus qu'en maçonnerie (sauf aux terrasses supérieures ), cet élément décoratif est un bel objet de collection-photos, je trouve...

Bon, d'accord, pour le collage, j"ai des progrès à faire...

Baudelaire...

Ce n'est que dans deux jours, mais on s'y croirait...




Chant d'automne

I
Bientôt nous plongerons dans les froides ténèbres ;
Adieu, vive clarté de nos étés trop courts !
J'entends déjà tomber avec des chocs funèbres
Le bois retentissant sur le pavé des cours.

Tout l'hiver va rentrer dans mon être: colère,
Haine, frissons, horreur, labeur dur et forcé,
Et, comme le soleil dans son enfer polaire,
Mon coeur ne sera plus qu'un bloc rouge et glacé.

J'écoute en frémissant chaque bûche qui tombe

L'échafaud qu'on bâtit n'a pas d'écho plus sourd.
Mon esprit est pareil à la tour qui succombe
Sous les coups du bélier infatigable et lourd.

II me semble, bercé par ce choc monotone,
Qu'on cloue en grande hâte un cercueil quelque part.
Pour qui?
- C'était hier l'été; voici l'automne !
Ce bruit mystérieux sonne comme un départ.
...


Il faut dire que je dois à Baudelaire
les seules bonnes notes que j'aie jamais eu en français
- y compris et surtout au bac ! -
donc un grand merci à lui ...

et toujours une petite pensée à cette saison...

Spleen : Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle

Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle
Sur l'esprit gémissant en proie aux longs ennuis,
Et que de l'horizon embrassant tout le cercle
Il nous verse un jour noir plus triste que les nuits ;

Quand la terre est changée en un cachot humide,
Où l'Espérance, comme une chauve-souris,
S'en va battant les murs de son aile timide
Et se cognant la tête à des plafonds pourris ;

Quand la pluie étalant ses immenses traînées
D'une vaste prison imite les barreaux,
Et qu'un peuple muet d'infâmes araignées
Vient tendre ses filets au fond de nos cerveaux,

Des cloches tout à coup sautent avec furie
Et lancent vers le ciel un affreux hurlement,
Ainsi que des esprits errants et sans patrie
Qui se mettent à geindre opiniâtrement.

- Et de longs corbillards, sans tambours ni musique,
Défilent lentement dans mon âme ; l'Espoir,
Vaincu, pleure, et l'Angoisse atroce, despotique,
Sur mon crâne incliné plante son drapeau noir.



Ici, ce genre de météo,
à part le contre-temps en période de vendanges,
ça n'est pas si triste...
- un peu de répit après les chaleurs...
Et ça ne dure jamais longtemps
- Madame Tramontane y veille...

lundi 20 septembre 2010

vendanges : année maigre

Laborieuses, les vendanges,cette année ici.
Les mauvaises journées des 3 et 4 mai ont cassé des sarments et surtout grillé beaucoup de végétation, dont la vigne :
vents très violents (160 km/h + pluies très abondantes = évaporation intense), ce qui a créé du froid, il faisait 9°, mais c'était comme s'il avait gelé.

tendres pousses de vignes, fin avril 2010


















 > 12 mai, soit une semaine après

Les feuilles ont eu le temps de sécher, celles qui étaient encore sur les sarments cassés, mais d'autres sarments encore debout n'ont plus de feuilles, essorés. Ils en referont, et des fleurs aussi, mais qui mûriront avec des semaines de décalage, bonnes à supprimer.
 Quant aux rares fleurs qui ont passé l'épreuve, elles auront peu de grains

On voit que même le piquet a bougé, alors même que les sarments étaient encore trop petits pour y être liés, ce qui n'aurait de toute façon rien empêché.  A cette vitesse de vent... et soufflant en tous sens en tourbillons et par rafales, en raison du relief escarpé.


7 juin : les deux photos ci-dessous sont des détails de la même photo visible plus bas (avec mon ombre). A gauche, les raisins ont la taille de " pois très fins". A  droite, le pied voisin n'a aucun fruit restant, mais tente une seconde floraison, un mois plus tard. Inexploitable...








3° semaine de septembre

Pour la vigne, tous les ans des rameaux sont cassés, tant qu'il en reste elle repousse, des yeux dormants donnent un sarment, les "entre-coeurs" (sarments secondaires, comme les rejets sur les tomates, qui se développent à l'aisselle des feuilles) donnent des fleurs pour remplacer celles qui ont avorté.

Sur la photo ci-dessus, à gauche, grains déjà gros, mais plus beaucoup de sarments pour les nourrir, à droite fleurs "de secours" sur vigne abîmée il y a un mois (6juin).
D'où, on s'y attendait, de grosses différences de maturité, d'une exposition à l'autre et dans chaque vigne, voire sur chaque pied - il en restait si peu, on n'a pas supprimé les retardataires. Donc, il a fallu cueillir parfois 2 grappes sur un pied, en laissant mûrir les autres, pour ne pas baisser en qualité ! Déjà qu'on passait plusieurs fois dans les parcelles mélangées, pour cueillir les gris, puis les noirs... Beaucoup de kilomètres et beaucoup de coups de sécateurs pour des grappes petites (pas toutes, heureusement, mais on ne va pas laisser les petites... ) et des bennes qui ne se remplissent pas vite... Donc, comme prévu, vendanges tardivement débutées, par rapport à l'an dernier, et qui s'étaleront encore jusqu'au début octobre...
La pluie de vendredi a donné un coup de frein (on évite de cueillir... de l'eau !) et se fait sentir aujourd'hui, 3 jours après, par une grosse baisse de degré, tout le monde déçu ce matin ! Urgent d'attendre... les (grosses) pluies de demain ne vont rien arranger, il faut du vent ensuite pour faire remonter le taux de sucre.
(... et pendant ce temps-là, les sangliers prélèvent leur part...
- "de la confiture aux cochons", c'est le cas de le dire !)

Quand vous boirez votre Banyuls, dites-vous bien qu'il ne s'est pas fait sans peine... c'est du soleil, du vent... et BEAUCOUP de travail !
Tinc set (à la vôtre) Bon profit ! ( c'est en catalan)

PS goûté le Colliure rosé 2010
Hmmm

Pour en voir plus sur notre terroir
http://www.banyuls.com/index.php?L=1
(english version : http://www.banyuls.com/index.php?L=2 )

mercredi 15 septembre 2010

Rayon vert ?

Avant-hier, il paraît que j'ai raté quelque chose (ce matin aussi d'ailleurs!)...

Mon mari a vu LE fameux rayon vert ! et il se voyait longtemps...
Rayon vert, comme : "Belvédère du rayon vert", cet ancien hôtel de luxe de Cerbère, classé monument historique, mais j'y reviendrai un autre jour.
Le rayon vert existe-t-il vraiment ? Je le guette tous les matins dans le soleil levant, et rien...

Avant-hier encore, j'ai bien regardé, mais moi, je n'ai vu que du rose, du orange...
- Non, c'était AVANT que le soleil paraisse !

Donc, hier, je me lève très tôt, avant qu'il parte, et il me le présente alors qu'il fait encore nuit quasiment :


qu'en dites-vous ?
On l'a vu pendant au moins 10 mn, au début les photos sont plutôt floues, ... au saut du lit, comme ça...
Donc , je vous la met en petit.
( 6:50 )


J'ai cherché ce qu'on pouvait en lire,
mais les images ne correspondent pas :

explications (très ) techniques, ici
le cas est donné en 4° configuration

un autre article très technique en italien et en anglais, avec des photos, mais seulement du spot vert en partie supérieure

et LE topo wiki ( n'est-pas, Patrick ?), qui ne connaît pas "le mien" non plus... ( donc à faire évoluer si tu veux faire ton savant...)
http://fr.wikipedia.org/wiki/Rayon_vert

6:58

Il faut absolument qu'il me réveille demain !

mardi 14 septembre 2010

Un tour au port

Un tour au port, enfin, ce qui était et sera un port : le chantier de reconstruction de la digue
La lumière était très dure, mais j'ai pris quelques photos de la fourmilière.
Intense activité, chantiers entremêlés, bousculades bien rodées sur l'unique voie d'accès...



et un public nombreux au balcon, tous ceux qui ont un peu de temps accoudés au parapet de la D914, d'où on bénéficie d'une vue surplombante. En plus on était jour de marché, de quoi joindre l'utile à l'agréable, voir du monde à coup sûr, ils étaient donc une vingtaine là-haut à observer, commenter, supputer... ceux qui savent sont en bas, et ont autre chose à faire.


Il faut dire qu'on est loin du compte, malgré la poursuite des travaux durant les vacances, il ne faudrait pas qu'une tempête arrive et compromette tout ce qui a déjà été fait.

Tout le côté au large a reçu un "pavage" de blocs de pierre, qui commence très au large de ce quon voit qui émerge et qui remonte en talus sur cet axe de remblai à fleur d'eau. ce chantier est à présent en train de revenir vers le côté port, il a été fait tout d'abord à partir des anciens blocs repêchés, et recalibrés, mais à présent de nouvelles pierres sont livrées.
Ce pavage est à présent recouvert de plusieurs étages de blocs de 22 t, en forme d'étoiles à 6 pointes, les "acropodes", fabriqués au stade où les premiers ont été stockés tout l'été, et acheminés à présent un à un par la route.
L'ancien quai a beau avoir été élargi, ça reste un fameux virage à prendre, et toute une logistique, entre les livraisons de pierres et celles des acropodes.


Au moins deux camions font le trajet stade / port, avec leur voiture de sécurité.
Il semble que les pierres viennent d'Espagne, mais les livraisons sont assez rapprochées aussi.




La sortie du camion nécessite
de bloquer la circulation, mais ça prend peu de temps.


Un chargeur vient les chercher sur le camion pour les apporter auprès de la grue, entre deux livraisons, il dispose d'un stock sur place, je l'ai vu en déplacer 2 pris sur le stock entre deux rotations. La deuxième fois, il a dû attendre que la livraison de pierres soit finie pour pouvoir décharger, donc il prépare un acropode de plus près de la grue avant d'y aller













Les blocs portent tous des inscriptions.
A gauche un second acropode sur la fourche du chargeur.
Les deux personnes qui installent l'élingue donnent l'échelle pour les dimensions.














A côté de la grue, un bateau : il est relié à un plongeur par un épais cordon. Son rôle est probablement de guider le grutier. Entre deux immersions il reste dessous. On voit ses bulles.








Une photo de la semaine dernière, le soleil sur la mer brillait trop ce matin.














A suivre...