toison chenue de l'urosperme de Daléchamp - non ce n'est pas un pissenlit

toison chenue de l'urosperme de Daléchamp - non ce n'est pas un pissenlit, a photo by Claudie K on Flickr.

l'éclosion


on voit les petites dents noires des ligules encore serrées faire une tache noire au centre du capitule


observer en bas à gauche de l'image, l'aspect arrondi du dessus du bouton, qui est ovale

Ci-dessous, on distingue les trois feuilles caulinaires en verticille, à mi-hauteur de la tige,
que n'ont pas les pissenlits, confusion impossible
(pissenlits dont , par ailleurs la tige cassée produit du latex
 - et la couleur du pissenlit est plus dorée)

(Pour suivre la série sur les cétoines grises cliquer sur le lien

défloraison et maturation des akènes à l'abri du calice partiellement refermé


apparition de la "chandelle"


Les akènes ne se détachent pas si aisément que celles du pissenlit

celui-ci affrontait déjà une tramontane à décorner les boeufs, et n'allait pas céder au souffle d'un enfant

d'ailleurs il a résisté au transport aussi

celui-ci nous montre ses dessous,
envahis par une sorte de "cochenille" noire façon "taches de goudron"
On voit que la tige s'évase en dessous du capitule, contrairement à la tige du pissenlit, cylindrique
- il a commencé à perdre ses akènes

Les akènes font l'effet d'une "fourrure" très dense, pas forcément d'un blanc neigeux.
 


Ne pas confondre en mai leurs chandelles  avec celles des salsifis, plus grandes et plus "aérées"