y avait longtemps...
tour d'observation |
prêts à descendre |
observer le grand triangle de rocher, sans végétation, et un plus petit devant, entre un espace: c'est à ce niveau que des sauveteurs s'activent, on ne verra guère que leurs casques |
retour au stade en attendant la récupération |
L'hélicoptère revient, face au vent
une première personne est hélitreuillée (détail ci-dessous)
une personne est montée dans le VSAB
récupération d'une ou de deux personnes encore
Puis il part directement vers Perpignan sans repasser par le stade
le canot attend pour récupérer deux derniers sauveteurs qui reviendront à la nage |
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PS: voir article de L'Indépendant du 16 août
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Joli reportage qui se termine bien. Quand ils passent au-dessus de chez nous c'est en général mauvais signe, un incendie dans l'arrière pays!
RépondreSupprimerUn sacré reportage ! Tu as pensé à bosser pour France 3 ... ou à proposer ton reportage à Visa ? Non, sans blague, c'est super. Tu nous fais vivre l'évènement quasi en direct. Chapeau !
RépondreSupprimerOh c'est trop bête, j'avais écrit un commentaire assez long et puis il a fallu que je "m'identifie" et hop ! mon commentaire avait disparu. Bref, je te disais que c'était super intéressant et qu'on avait l'impression de vivre l'évènement en direct... C'était un peu plus "touffu" comme commentaire mais c'est ce qui était le plus important. Ah oui, et je te disais : chapeau !
RépondreSupprimerBon, ben même en m'identifiant, le commentaire disparaît. C'est drôlement verrouillé dis donc !
RépondreSupprimerMais non, Marie, tu vois, il suffit que je clique sur "Publier"
SupprimerJe vais aller voir si c'est assez explicite dans le formulaire de commentaire
Tu étais super bien placée pour faire ton intéressant reportage !
RépondreSupprimerIls font un boulot formidable ces sauveteurs +++
oui il faut cependant essayer de ne pas dépendre d'eux
RépondreSupprimernouveau sauvetage presque au même endroit (près de la voie ferrée plus à gauche quelque temps après. Mais on a vu qu'ils ont juste eu à remettre la personne sur le chemin. Elle était tombée en contrebas dans les opuntias et ne s'en sortait pas seule.
Là pour l'intervention beaucoup plus longue décrite ci-dessus, je n'ai pas eu l'info, s^rement plus grave