samedi 30 octobre 2010

épisode cévénol




pas trop nous qui sommes visés, cette fois*, la "cible" est vraiment au nord

  Episode cévenol - ou méditerranéen

 qu'est-ce que c'est ? qu'est-ce que c'est ?
je vous imagine perplexes... donc un petit aperçu

Je me permets de traiter le sujet aujourd'hui car l'heure n'est pas grave, enfin, j'espère, que ce n'est qu'une alerte orange pour l'Hérault, la Lozère et le Gard.  Déjà la Lozère est la source de beaucoup de ce qui coule dans les deux autres, donc s'il pleut fort en haut et en aval, il vaut mieux que ça ne se prolonge pas trop sinon, c'est Nîmes, Sommières et les autres qui se font noyer.
Selon l'orientation du vent, ça tape plus à l'ouest (Aude, PO, comme en 1999), ou plus à l'est (Vaison-la-Romaine, en 1992), mais la Lozère et l'Hérault plus souvent qu'à leur tour...
* Pour aujourd'hui on y échappe, tant mieux, la dernière fois ce sont quatre mois de pluie en deux jours que nous avons reçus, juste pour l'anniversaire de l' l'Aiguat de 1940, de quoi faire peur, et il y a eu de fait des inondations en Salanque. 





 Vu d'ici, ce matin, l' Aude est comme nous dans la grisaille, mais on voit les Corbières,
et plus à l'Est, si c'est chargé, ce n'est pas noir, on ne voit pas d'orage sur les côtes - invisibles, mais quand ça pète, les nuages d'orage montent haut et se voient d'ici.

Hier soir, ça donnait ça :
eh non, le vent ça ne se voit pas, mais c'était chargé

pleuvait-il déjà à Banyuls ?


les arbres pris à rebrousse-poils, habitués qu'ils sont à subir la tramontane, ils poussent sous sa loi, et sont assez vulnérables quand le vent fort vient du sud-est
les nuages qui courent à toute vitesse, mais pour ça, il me faut une photo "latérale"
on aurait dit Nessie, le monstre du Loch Ness, au dessus du Cap Cerbère, il fonçait vers le nord
Je n'ai pas pu prendre toutes les photos que je voulais, mon écharpe a fait de siennes, enfin, le vent !
A force de coups de vent, dans un sens puis dans l'autre, les feuilles sont parties assez tôt, ici on dit que "les chèvres sont passées", ça peut arriver au mos de mai, c'est arrivé, d'ailleurs, mais ce coup-ci, ça ne repoussera plus avant le printemps :



Mais le spectacle était plus lumineux quelques heures après :
Rouge au couchant, beau temps ? Le fait est que le vent est tombé et que ça se dégage, contre toute attente
à lire :
étude du risque en Languedoc-Roussillon
Evenements_memorables en L-R aussi

mercredi 27 octobre 2010

Festival transpyrénéen de chant choral : à ne pas manquer

avant d'y assister, pour moi, Cerbère, c'était juste... loin !


En 2009 (photo), c'était déjà la 10° édition.
En général, il a lieu le dernier week-end de juin.
Je n'avais malheureusement pas pris mon appareil  en 2010, mais voici encore quelques bons moments des années passées.



 Concert à l'Eglise Saint Sauveur


 pendant le spectacle, les volontaires s'activent :
préparation du Cremat servi à la fin du concert sur la plage,



toujours un grand moment... gustatif et convivial























Si vous voulez consulter le site de Cerbère

mardi 26 octobre 2010

Le Belvédère du Rayon Vert

Juste quelques photos...
d'un hôtel qui semble fendre les flots,
 planté là-haut entre le rail et l'eau...

suivies d'un petit topo




L' hotel Belvédère du Rayon Vert - Cerbère - Pyrénées-Orientales - France.
Premier bâtiment au monde à être construit (1928 à 1932) en ciment armé à cause de l'étroitesse de sa base qui exigeait des prouesses techniques.
Conçu par l'architecte perpignanais Léon Baille, architecte perpignanais, pour le compte de Jean de Léon, gérant du buffet de la gare de Cerbère. pour la clientèle des «sleepings» contrainte à un arrêt obligatoire à Cerbère, dû aux formalités de dédouanement et à l'inévitable changement de train entre la France et l'Espagne.
L'hôtel est bâti entre la Méditerranée et la voie ferrée, sur une parcelle triangulaire, l'édifice de quatre niveaux est entièrement réalisé en béton armé. L'architecte reprend la métaphore du paquebot, formule à la mode dans les années 20, pour dessiner les lignes et le décor de ce «transatlantique» et placer un garage-station service en rez-de-chaussée, comme dans un ferry-boat.
La «poupe» du bâtiment, les coursières aux extrémités arrondies et la sortie d'un escalier sur le toit-terrasse, imitant une cheminée de navire, sont autant de références à l'architecture navale, inspiration qui marque également l'intérieur de l'édifice. Outre les chambres, l'hôtel comporte un bar, un restaurant, une salle de cinéma et un court de tennis sur le toit-terrasse. 
Tout est conçu pour séduire, l'espace d'un soir, ces passagers du navire immobile ancré sur un flot jaillissant de gerbes de béton que semblent soulever son étrave.
 L'hôtel est désaffecté depuis 1983, il est protégé depuis 1987.


PS une carte postale sonore, formidable! ( valable jusqu'à fin juin 2016, se hâter d'en profiter)


Rencontres Cinématographiques 2016
Les Fantômes du Belvédère
article et photos Gilles Meunier, L'Indépendant

je ne sais pas si vous avez vu lundi 12 oct 2016 sur FR3 un reportage sur Cerbère. Sinon, vous pouvez le visionner pendant encore quelques jours à cette adresse: http://pluzz.francetv.fr/videos/documentaires_sud_,1000068001.html
http://france3-regions.francetvinfo.fr/languedoc-roussillon/pyrenees-orientales/cerbere-ville-frontiere-ce-soir-france-3-1105205.html 
Puis: en partie sur Viméo: Les productions de la Main Verte: Cerbère ville Frontière: 
https://vimeo.com/182658087 suivi de https://vimeo.com/182999771    



dimanche 24 octobre 2010

des chenilles et des pins... et un hélicoptère













L' hélicoptère, ça y est, il est passé cet après-midi*, savoir si c'est utile en ce moment, juste avant un passage pluvieux, ils n'ont pas indiqué l'agent utilisé, en tout cas, moi j'ai mal aux yeux cet après-midi, et ça a plutôt empiré en allant marcher pour faire les photos suivantes.
 * avant-hier vendredi, réunir les documents m'a pris un peu de temps

Pas de cocons visibles à cette saison, ou des vieux pleins de brindilles envolées je suppose...

Il faut dire aussi que pour beaucoup d'arbres, ça a l'air trop tard... et quand elles ont seulement commencé à les affaiblir, d'autres xylophages s'y attaquent, et ils sont condamnés.











 Certains arbres ont seulement une partie dégarnie, et semblent encore bien verts de l'autre, sont-ils sauvables ?


Sinon à terme, ça donne ça                                                            






et tout le secteur se trouvera "pelé"



      
La montagne à l'arrière-plan n'a pas été boisée, c'est la garrigue, cistes de Montpellier, lavande maritime, romarin, garou, et toutes les "herbes"...
 Ce secteur de la crête à gauche est replanté*, mais les jeunes pins ont du mal à dépasser les cistes. Ils vaudrait mieux arriver à les préserver (*photo encore à prendre, à plus tard)
( la photo est prise, elle est  )


Une des mesures utilisables est de couper et brûler tous les cocons visibles. Chez soi, c'est faisable, mais à l'échelle d'une forêt, c'est impossible.
 Le Conseil Général subventionne l'implantation de  nichoirs par les communes, pour favoriser les mésanges,  régulateur efficace. Argelès, dont l'économie dépend des campings... sous les pins, en a installé une trentaine, notamment près des écoles et lieus publics. Canohès, Millas ... je n'ai pas la liste entière. Beaucoup d'autres départements le font aussi, d'ailleurs.
Certains essayent aussi des piégeages par phéromones
 Pour les grandes superficies peu accessibles, le traitement par hélico ( par épandage d'un  Bacillus thurengis, soi-disant sans risque pour nous) reste privilégié.

A Cerbère un très grand secteur dépend de l'ONF, qui manque totalement de moyens (suppressions de postes), et la zone qu'on appelle ici "la Forestière" est déjà très attaquée.
C'est vraiment dommage car le paysage ne serait pas ce qu'il est sans cette forêt au-dessus des vignes.
la vallée fin juillet, vue d'une des pistes de la "Forestière" qui part du lacet sous la douane

On y voit des pins, de plusieurs variétés, mais aussi des eucalyptus, et de nombreux arbres "sauvages" ou subspontanés (arbres de Judée, notamment, magnifiques au printemps) Sans parler des conséquences écologiques, hydrologiques, climatiques...

 A lire:
cycle biologique de la chenille processionnaire  et autres pages, tout un dossier par Jean-Claude Martin, INRA
.
FREDON LR : topo très complet http://www.fredonlr.com/chenille_processionnaire.html

jeudi 21 octobre 2010

la photo, un jeu d'enfant ?



La photo numérique, un jeu d'enfant ?

... on peut dire ça,
d'abord, je ne vais guère plus loin, techniquement parlant,
c'est assez instinctif, ou ça devient rébarbatif dès qu'il faut essayer de comprendre ce qui coince,
mais ça motive quelques efforts de comprenotte cependant, parce que c'est un beau jouet.

Ensuite, à part les enfants, qui d'autres que les photographes pour prendre le temps de regarder, contempler ?
et cette envie de collectionner, c'est aussi étant enfant qu'on "attrape" ça...

Et puis, ces temps-ci, je le vis vraiment comme un jeu d'enfant,
ces quelques photos ont été faites avec ma petite-fille, et je crois qu'elle a pris le virus,
quand elle le veut, je lui prête et je lui tiens l'appareil, elle vise et elle déclenche,
et on n'en efface pas beaucoup.

dimanche 17 octobre 2010

galets


Ici, la plage, c'est galets, comme à Banyuls,
l'un des jeux favoris, en toutes saisons, est donc de lancer des cailloux dans l'eau,
en faisant des ricochets quand on grandit,
ou en faisant juste du bruit, des ploufs, des vagues... c'est déjà passionnant,
surtout si,
ce jour-là, on n'a pas le droit de mettre les pieds dans l'eau
... c'est un bon substitut

... ou une introduction... en espérant... de fil en aiguille... plus près... juste un peu... bon quoi c'est pas grave, même pas froid...

Pour essayer de faire de la dissuasion constructive,
j'ai tenté une contre-proposition...
... qui n'a pas eu l'écho souhaité, c'est un peu abstrait encore.
(mais le goût de les collectionner est bien là )



frustrée !


Frustrée !!!!


Voilà ce que je vois quand je veux charger une image....


attente infinie et jamais fructueuse de l'outil de chargement, cadre vide,
rien, nada, nichts, nothing !!!!

Comme je ne suis pas très douée, tout ce que j'ai trouvé, c'est passer par l'ancien éditeur, mais...
du coup je n'ai plus très envie, ça oblige à placer l'image (les images, éventuellement, si j'ai bien vu) en tête, des fois ça m'allait, mais pas souvent.

Je vais essayer de ne pas bloquer là !
Parce que normalement je suis têtue...
mais en matière d'informatique, la tendance à me trouver dépassée est dominante...
Et en plus Patrick me dit que les autres articles ont perdu une partie des photos...
... comment on fait pour écrire "fumasse" en émoticone ?

samedi 16 octobre 2010

tatonnements photographiques : panorama + effet HDR




Ce soir-là...
c'était avant la période pluvieuse, nous avions une belle vue dégagée sur "en face".
Ce n'est pas si souvent, en général, c'est tôt au soleil levant ou couchant, dans la journée les détails sortent moins.
Donc l'appareil photo est sorti, posé sur l'appui du balcon, et clic clic clic...
dans l'espoir d'en tirer des plans rapprochés, et de les relier.


Pour un essai, c'est déjà ça,
interdit de se moquer !
Bon, leçons à tirer :
même posé sur du plat, ça ne vaut pas un pied
avec une mesure d'angle et des vues chevauchantes, ça serait plus facile ensuite...

Pour le prochain essai, il me manque juste le beau temps

mardi 12 octobre 2010

Vu à Lamalou... : appel au civisme

Vu à Lamalou, cet été...

soit les gens avaient bien réagi...
soit la campagne était superflue, car je n'avais pas été choquée l'année avant...

Il se peut aussi qu'il m'en faille beaucoup pour être choquée, ayant trop l'habitude de devoir regarder où je mets les pieds.

A Perpignan, rien n'y fait, pas faute de faire des campagnes d'affichages pourtant. Une honte.

Les municipalités achètent de coûteuses motos-crottes et y spécialisent du personnel
- exaltant comme boulot -
les distributeurs de petits sachets ad hoc sont pillés... par des gens qui les utilisent pour de tout autres usages, y compris alimentaires... si, si... ils ont été vus !

A Banyuls aussi c'est horrible.

Ici, en centre-ville c'est propre, mais dans les quartiers, c'est autre chose.
Dans une rue voisine, il s'agit peut-être d'un seul et même chien, qui signe ses forfaits... apparemment, il dévore beaucoup de pulls, serpillères et autres chiffons...
photo après "rinçage" par une pluie abondante, mais il ne pleut pas si souvent, ça traîne et se multiplie, slalom obligatoire





i

dimanche 10 octobre 2010

il reste toujours quelque chose à découvrir (les agaves)


Depuis que je suis ici, je les vois partout,
elles font partie du paysage...


les agaves...










(cliquez sur les photos pour les agrandir, puis cliquez à nouveau sur le symbole + si vous voulez zoomer encore)
non, non, la photo n'est pas de travers... à l'issue de leur spectaculaire floraison, elles intriguent :
tombera, tombera pas ?
- tombera quand, plutôt... sur la route, sur la voie ferrée
Mais avant de tomber, elles ont fleuri longtemps
(pas possible, je n'en ai pas pris une seule en fleurs? - je vais vous chercher ça...)

 parce que beaucoup disent un mot pour l'autre, ou encore "cactus" - mais c'est assez simple, en fait de ne pas confondre.


...elles ont fleuri, et fructifié... la hampe reste ainsi presque un an, et même deux, ça ne passe pas inaperçu,
avant de s'incliner très lentement, en fait la plante meurt après avoir fleuri,
- mais à son pied une foule de rejetons déjà grands ne demande qu'à prendre la relève.
détail des fruits
Seulement, avant de pousser ce superbe chant du cygne, de fleurir en apothéose, il faut grandir, grandir, grossir...
Il y a des mastodontes!

Accrochées partout où elles ne dérangent pas trop, terrains incultes, falaises abruptes, elles finissent par atteindre des proportions imposantes...
Celles-ci par exemple, au-dessus de la voie ferrée, vous imaginez la suite ?


Ou celle-ci, en bord de route, elle envahit le trottoir,

je l'appelle "l'éléphant bleu", elle a une grosse peau toute couturée de cicatrices,
(cliquez sur l'image)

( un mois avant cette photo, elle s'était pris la tempête de neige
- 50cm à 1m pendant une semaine),
pour vous dire si je commençais à les photographier de près, si je croyais les connaître... par leur petit nom, enfin, celui que je leur donne...

Eh bien, il faut toujours se pencher et regarder plus près :


je n'avais encore pas remarqué ces jolis dessins auparavant,
la trace des bords dentés imprimée sur l'intérieur et l'extérieur des feuilles, du temps où elles étaient enroulées serrées sur elles-mêmes et autour de la suivante,
elles les ont toutes, mêmes les plus vieilles feuilles


Il reste toujours quelque chose à découvrir...


PS voir belle série de photos aussi chez JO





jeudi 7 octobre 2010

Cerbère, une histoire de gare; les transbordeuses

Il y a bien longtemps, Cerbère était un lieu-dit, une dépendance de la paroisse de Banyuls, pas de village, pas de route, jusqu'à...
... jusqu'à ce qu'arrive la voie ferrée, qui eut besoin de main d'oeuvre pour sa construction et son fonctionnement.
Remblais, tunnels... que de vallées à franchir...
un immense viaduc enjambe à Banyuls la Baillaurie,


à Cerbère, c'est un mur gigantesque (on n'en voit qu'un tout petit morceau) qui soutient la voie et la gare, et des tunnels partout,
pour les trains, pour les gens,
pour la route vers l'arrière-pays qui se retrouve à passer sous les voies.
Cerbère s'est peuplé et construit pour ces travaux, puis pour le fonctionnement de la voie et les échanges frontaliers devenus possibles. Le tourisme n'est venu qu'après.

Cheminots logés en cités, douaniers, transitaires en douane aux riches immeubles, et toute une industrie propre à cette frontière : le transbordement.
Qu'évoque cette étrange statue - bien abîmée par la tempête fin 2008 -
d'une femme -solide- portant un couffin rempli de boules étranges ?
C'est un hommage à un métier local disparu :
les transbordeuses d'oranges, transbordeuses, c'est à dire qu'il leur fallait vider les wagons espagnols pour charger les wagons français, chaque pays ayant des normes différentes, l'écartement des voies ne correspondant pas, Cerbère était un terminus...
... et les gens et les marchandises devaient changer de train.
Pourquoi "devaient" ? et maintenant ?
... Maintenant, pour les marchandises, un autre métier est né. Une entreprise (Transfesa) change les essieux de wagons en gare de Cerbère, les change de voie, ce qui prend du temps aussi et donne un autre type de travail.
... Maintenant, pour quelques trains espagnols, nommés Thalgo, on a inventé l'essieu variable. Les autres trains s'arrêtent toujours ici ou à Port-Bou, et les autres voyageurs découvrent la ville, "quelques" escaliers plus bas, voire la plage, et mangent un un-cas en attendant leur correspondance...

Un wagon sous le grand mur, au pied du tunnel qui relie pour les piétons le front de mer à la gare, est là pour évoquer le problème technique,
et la Transbordeuse d'oranges lui fait pendant sur l'esplanade en face :


Au pied de la statue, deux plaques :
"A ses transbordeuses, à tous les travailleurs de la gare, la ville de Cerbère reconnaissante (1878-1970)"

...
" De 1878 à 1970, en raison de la différence d'écartement des rails des voies françaises et espagnoles, les marchandises transitant par la gare de Cerbère furent transbordées à la main, principalement des agrumes.
Avec une technique éprouvée, apportant un soin extrême au traitement des fruits délicats, 5000 personnes environ pendant cent ans manipulèrent 20millions de tonnes d'agrumes et 15 millions de tonnes de marchandises diverses. "




Le métier était très dur et très mal payé, et en 1906 eut lieu une grève historique qui durera presque un an.
http://histoireduroussillon.free.fr/Villages/Histoire/Cerbere.php

http://www.mjc31.org/La-greve-des-transbordeuses-d-Oranges-en-1906-152.html

Deux romans : La transbordeuse d'oranges par Hélène Legrais
et Quai des oranges de Nicole Zimerman

Mais il y aurait encore beaucoup de photos à faire ... pour évoquer le rail et Cerbère

PS
Ici une synthèse remarquable sous forme d'une émission de France Inter

mardi 5 octobre 2010

un blog de randonneur à découvrir : découvertes66

Envie de suivre en rando des gens des PO ?
Jolies (non, merveilleuses) photos (cliquez pour agrandir)
Je connais pas l'auteur, mais il respire l'optimisme et ses photos valent le détour :
http://decouverte66a.blogspot.com/
Par exemple retournez voir Paulilles (je vous ai montré le parc), vue du sentier litttoral