vendredi 13 juin 2025

DISSOLUTION : COMMENT MACRON A MIS LE PAYS À FEU ET À SANG


Ne pas hésiter à consulter les précédents épisodes de cette excellente série d'analyse "DISSOLUTION"

Prises de parole de l'équipage #FreedomFlotilla - Stop blocus, stop géno...





Yanis on t'attend 

https://youtu.be/LJWPwSOrH7g?si=dsZRQ63i_dsMSVCO

mardi 10 juin 2025

Netanyahu doit relâcher immédiatement les douze membres de l’équipage de...


https://youtu.be/ESd_d14gNQ4?si=-1dO2CK85Fw28wi9



https://www.youtube.com/live/hiDaJ-0UWc8?si=2n8breQad4H7Qtxf
ou 
https://www.facebook.com/lafranceinsoumise/videos/1229336418119976

Prises de paroles , Place de la République, lundi 9 juin 2025, 

Salah Amoudi (Urgence Palestine) avocat franco-palestinien,  ex-prisonnier de Néthanyau,
Jean-Luc Mélenchon, de LFI,
Lou Gêné porte-parole d'ATTAC
 Sopia Tizaoui secrétaire général de l'Union syndicale lycéenne
Jacques  AFPS (Association France Palestin solidarité)
Benoît Martin pour la CGT Paris
Agli Méli sénateur des écologistes dans le Val de Marne
Ella Privi coordinatrice nationale de génération
Julie Ferro pour l'union syndicale solitaire
Journalistes de Blast, colègues de Yanis Mamdi un des passagers du navire arrêtés
Louisa,molotante NPA
Anasse Kazib de Révolution Permanente




Dans une lettre urgente adressée aux autorités israéliennes, le Centre juridique Adalah pour les droits de l'homme a exigé la divulgation immédiate du lieu où se trouvent 12 militants internationaux qui ont été détenus de force à bord du « Madeleine », l'un des navires de la Flottille de la Liberté, après que la marine israélienne a saisi le navire tôt lundi matin.
Le centre a considéré la saisie du navire et la détention qui l'a accompagnée comme « une mesure illégale au regard du droit international ».

 

Parallèlement, la Rapporteuse spéciale sur la situation des droits de l'homme en Palestine, Francesca Albanese, a appelé à une action urgente pour obtenir la libération du Madeleine et de son équipage.
A bord du voilier se trouvaient 12 militants français, allemands, brésiliens, turcs, suédois, espagnols et néerlandais qui ont quitté l'Italie le 1er juin pour « briser le siège israélien » sur Gaza, qui souffre d'une situation humanitaire catastrophique dans le contexte de la guerre d'extermination menée par Israël sur le territoire.
Adalah a rappelé que le navire avait appareillé il y a plus d'une semaine pour une mission humanitaire visant à acheminer une aide essentielle à la bande de Gaza, notamment du matériel médical, du lait maternisé et des produits de purification de l'eau. Ce voyage visait également à « ouvrir un corridor maritime sûr et fréquenté vers Gaza malgré le blocus imposé depuis 17 ans », ajoutant que cette initiative s'inscrivait dans un contexte d'« accusations de génocide contre Israël qui perdurent depuis plus de 21 mois, provoquant une catastrophe humanitaire qui s'aggrave ».

Selon le communiqué, le navire naviguait dans les eaux internationales lorsqu'il a été intercepté à 3 heures du matin, « après avoir été encerclé par la marine israélienne avec la participation de drones ». Le communiqué expliquait que « le navire n'a pas pénétré dans les eaux territoriales israéliennes, et cela ne faisait pas partie de son plan. Il se dirigeait plutôt vers les eaux territoriales de l'État palestinien, telles que reconnues par le droit international », ce qui signifie qu'« Israël n'a aucune compétence légale pour intercepter le navire ou arrêter les personnes à bord ».

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Adalah a averti que « l'arrestation de militants civils non armés qui cherchaient à acheminer de l'aide humanitaire constitue une violation flagrante du droit international », soulignant que « le blocus imposé à Gaza est utilisé comme une arme militaire pour affamer la population civile, constitue une punition collective interdite par le droit international humanitaire et viole les mesures provisoires émises par la Cour internationale de justice dans l'affaire du génocide (Afrique du Sud c. Israël) ».
Le communiqué indique : « Les forces israéliennes ont remorqué le navire jusqu'au port d'Ashdod, où tous les militants ont été placés en détention sans aucune annonce officielle de leur lieu de détention ou de leur statut juridique, et sans leur permettre d'avoir accès à des avocats.

 Le centre a conclu sa déclaration en appelant les autorités israéliennes à « révéler immédiatement le lieu où se trouvent les 12 militants, leur statut juridique et à s'assurer qu'ils reçoivent la représentation juridique nécessaire », soulignant qu'il prendra des mesures juridiques dans les prochains jours pour obtenir leur libération.

À son tour, Albanese a déclaré dans un message sur la plateforme X : « L'interception et la saisie du navire Madeleine par les forces israéliennes dans les eaux internationales nécessitent une explication complète de la part des autorités israéliennes. »
Elle a ajouté que la Grande-Bretagne « doit de toute urgence obtenir ces éclaircissements et garantir la libération immédiate du navire et de son équipage ». Le rapporteur de l'ONU a souligné que « le Madeleine accomplit une mission humanitaire légitime et doit être autorisé à poursuivre sa route vers la bande de Gaza ».

Plus tôt lundi, le ministère israélien des Affaires étrangères a confirmé que l'armée avait saisi le navire « Madeleine », qui faisait route vers la bande de Gaza, et l'avait emmené en Israël. L'armée a affirmé son intention d'expulser les militants à bord vers leurs pays d'origine.

 Dans la nuit, la Coalition de la Flottille de la Liberté, qui organisait la traversée, a annoncé que l'armée israélienne avait intercepté le navire. Elle a indiqué que « la communication avec le Madeleine avait été perdue. L'armée israélienne a abordé le navire », ajoutant que les forces israéliennes avaient enlevé l'équipage.

La Coalition de la Flottille de la Liberté a également dénoncé une « violation flagrante du droit international », affirmant que l'interception avait eu lieu dans les eaux internationales. Howayda Arraf, responsable de la Coalition, a souligné qu'« Israël n'a pas l'autorité légale pour détenir les volontaires internationaux à bord du Madeleine ».



Ewa Jasiewicz

en 2010, elle faisait partie d'une première flottille, elle raconte 

mardi 6 mai 2025

Meeting contre la dissolution d'Urgence Palestine et de la Jeune Garde

Ce mardi 6 mai, rendez-vous vers 19h15 pour suivre en direct un meeting contre la dissolution d'Urgence Palestine et de la Jeune Garde avec Jean-Luc Mélenchon, Raphaël Arnault, Olivier Besancenot, Elsa Faucillon, Sabrina Sebaihi, Salah Hamouri, Youlie Yamamoto, Les Soulèvements de la Terre.

 ( puisqu'ils sont en retard  voir en attendany ce court extrait de Raphaël Arnault à l'Assemblée Nationale

https://youtube.com/shorts/xTH2SM2OBQM?si=ZTboDWGsDZM5gvND  )



vendredi 2 mai 2025

IMANE MAARIFI : SOIGNER SOUS LES BOMBES À GAZA


Ca date déjà
(elle parle d'une amie qui vient de vivre la reprise des bombardements )

7


mercredi 30 avril 2025

Extrêmorama. Passé colonial, présent national


vendredi 10 janvier 2025

49.3, EXTRÊME DROITE, CUMUL DES MANDATS : ON A DETERRÉ LES ARCHIVES QUI ...



Nouveau : "VAR"
l'assistance vidéo ,
non à l'arbitrage des matchs, origine de cet acronyme, 
mais à la mémoire 
Comme le démontre Orwell dans 1984 , l'effacement de la mémoire est indispensable à la propagande 
...





Sur le même thème de ce besoin de mémoire :

 https://youtu.be/OQ0RrDDX7fs?si=tO4D_-i-PFhy_TwJ
(Malgré leur énorme contresens sur le "résiduel" de JLM )

DE MUSK À LE PEN : MACRON FAIT DES COURBETTES À L’EXTRÊME DROITE