En marche...
une tentative pour partager mes promenades, mes découvertes, mes coups de coeur... et également, UN BLOC-NOTE POUR MOI, pour garder trace de mes recherches, je suis curieuse
mardi 31 décembre 2013
lundi 30 décembre 2013
dimanche 29 décembre 2013
Il n'en reste que quelques miettes ...
Pour les paniqués du changement de dates..
pour les stressés de la saison des voeux,..
pour les allergiques aux mets compliqués et aux zim-la-boum-cotillons-Alka-Seltzer
une petite douceur toute simple mais raffinée,
signée Martine!
L'eau vous en vient à la bouche...
Une belle métaphore imagée
-et qu'on imagine goûteuse-
Merci Martine !
On clique sur la photo pour découvrir le reste de sa galerie, pleine de fantaisie et de sagesse
-si si - ça peut aller de pair!
dimanche 22 décembre 2013
mercredi 18 décembre 2013
Noël tous les jours
Passez de bonnes fêtes de fin d'année mes Amies-Amis, a photo by Ms chti-breton qui vous souhaite de bonnes fêtes on Flickr.
"Passez de bonnes fêtes de fin d'année mes Amies-Amis", me dit-elle
Merci merci Dominique
et la chanson que tu as copiée dessous me ravit
C'est Noël tous les jours
C'est Noël chaque fois qu'on essuie une larme
Dans les yeux d'un enfant
C'est Noël chaque fois qu'on dépose les armes
Chaque fois qu'on s'entend
C'est Noël chaque fois qu'on arrête une guerre
Et qu'on ouvre les mains
C'est Noël chaque fois qu'on force la misère
À reculer plus loin.
C'est Noël sur la terre chaque jour
Car Noël, ô mon frère, c'est l'Amour.
C'est Noël quand nos coeurs oubliant les offenses
Sont vraiment fraternels
C'est Noël quand enfin se lève l'espérance
D'un amour plus réel
C'est Noël quand soudain se taisent les mensonges
Faisant place au bonheur
Et qu'au fond de nos vies la souffrance qui ronge
Trouve un peu de douceur.
C'est Noël sur la terre chaque jour
Car Noël, ô mon frère, c'est l'Amour.
C'est Noël dans les yeux du pauvre qu'on visite
Sur son lit d'hôpital
C'est Noël dans le coeur de tous ceux qu'on invite
Pour un bonheur normal
C'est Noël dans les mains de celui qui partage
Aujourd'hui notre pain
C'est Noël quand le gueux oublie tous les outrages
Et ne sent plus sa faim.
C'est Noël sur la terre chaque jour
Car Noël, ô mon frère, c'est l'Amour.
C'est Noël sur la terre chaque jour
Car Noël, car Noël c'est l'Amour.
(Odette Vercruysse)
une chanson que j'ai beaucoup chantée, que je connais par coeur, que je chante encore volontiers avec toi
mais trop souvent je chante surtout
C'est l'histoire d'une trêve que j'avais demandée
C'est l'histoire d'un soleil que j'avais espéré
C'est l'histoire d'un amour que je croyais vivant
C'est l'histoire d'un beau jour que moi petit enfant
Je voulais très heureux pour toute la planète
Je voulais j'espérais que la paix règne en maitre
En ce soir de Noël mais tout a continué
Mais tout a continué, mais tout a continué
Non, non, rien n'a changé
Tout, tout a continué
Non, non, rien n'a changé
Tout, tout a continué
Non, non, rien n'a changé
Tout, tout a continué
Non, non, rien n'a changé
Tout, tout a continué...
www.releaselyrics.com/6171/les-poppys-non-non-rien-n%5C%2...
Ne baissons pas les bras,
ne soyons pas amers,
n'attendons rien que nous n'ayons construit
Noël, c'est tous nos gestes, toute l'année!
Paix sur la terre aux hommes de bonne volonté
Le sapin et la bûche...
... ne valent qu'en tant que signes de lumière.
Que chacun ait la chance d'en recevoir, des signes de lumière et d'amitié,
que la lumière ne soit pas de pacotille,
que les artisans de paix finissent par l'emporter
Merci encore pour ta belle carte, Amie, et de m'avoir autorisée à l'utiliser
mardi 10 décembre 2013
le premier diablotin que je vois autrement que sur les photos desautres - YESS!!!
le premier diablotin que je vois autrement que sur les photos des autres - YESS!!! photos suivront a video by Claudie K on Flickr.
le diablotin est une bête encore plus étrange que je ne croyais
C'est le premier que je remarque et photographie - facile, il n'était pas très actif
Sur un mur à l'ombre, tel une brindille qui se serait accrochée là...
J'ai donc tenté de remettre un peu de lumière et de contraste, et de sortir certains détails
La première photo, qui montre bien l'obscurité côté nord vers 16h, mi-novembre:
Il a les membres inférieurs partiellement dépliés.
L'animal se change aisément en "brindille" dont il a les couleurs, quelques aspérités façon framboisier...
et l'abdomen relevé et enroulé pourrait passer pour un bourgeon à peine éclos
pour la posture en entier, la même photo retouchée moins "étroit".
Elle a été prise depuis le haut mais sûr le côté, il avait toujours la tête en bas et il regardait dans ma direction:
L'autre côté à présent:
il nous montre bien ses "mains" et ses "doigts", cachés l'instant d'avant, alors j'ai agrandi
On va pouvoir distinguer les DEUX antennes
- l'oeil, par contre...
bon... je le montre dans un sens plus habituel (merci pour tout, Ribbet)
si l'idée est de nous impressionner, c'est réussi, avec son abdomen qui darde façon scorpion, son regard intimidant, ses pattes largement étendues On admire au passage le polygone de sustentation offert par les pattes arrière
(si ce n'est que dans la pénombre, nous ne distinguons assez peu sa posture, et puis quand même les petites bêtes ne mangent pas les grosses! -il passe de 3cm à 5 en s'étirant ainsi, guère plus)
La tête, articulée sur le cou tout comme chez les mantes, leurs cousines, se tourne vers vous, il vous regarde.
(c'est une recoupe de la photo "couverture" de ce qui se voulait une video
- sauf qu'il ne voulait plus bouger,
... alors pour la définition, pas terrible)
c'est dommage, il* avait fini par me regarder
(*elle? UN diablotin FEMELLE, je n'ai pas lu qu'on puisse écrire "diablotine")
Voir photos et explications sur aramel.free (la première partie de cette page s'intéresse aux mantes, descendre)
vendredi 29 novembre 2013
en rose en en couleurs,
timide les jours derniers, mon petit rayon d'arc-en-ciel est de retour - série 29 novembre,
(A voir ici nos premières rencontres, c'est un visiteur de l'hiver)
Pour une amie qui a le blues
Bon courage !
mardi 19 novembre 2013
mûriers d'ornement
la recette des parasols, a photo by Claudie K on Flickr.
tressage et ligature des rameaux horizontaux, et taille courte de tout ce qui monte
n° 2 - 13 décembre 2010 |
La dentelle de brique est la rambarde au-dessus du mur de la gare
Il faut pour cela que les feuilles soient tombées...
c'est rarement à l'automne.
La photo ci -dessus a été prise en mars 2011,
et apparemment la taille avait été effectuée trois mois avant, et probablement avant la chute des feuilles (voir la photo n°4)
Le mûrier platane reste longtemps vert de plus en plus mêlé de jaune vif et clairsemé, mais c'est très lent
n]3 - Sur la place devant le Central Hôtel janvier 2012 (un hiver doux... enfin... jusqu'en février): jaune mais bien feuillé, à l'abri du vent il est vrai |
4. 28 Décembre 2010 cité Many, mi-hauteur de l'escalier, arbre non taillé, portant ses derniers feuilles:
5. celui-ci est mené plus en boule, une photo de décembre 2012
il n'est pas sur une place, mais dans un couloir de vent,
ou a-t-il été taillé alors qu'il restait des feuilles jaunes ?
dans un bac de bord de route encaissée (entrée de ville)
6. Le même au printemps précédent (22 avril 2012)
7. en voici un autre bien au vent, qui n'a pas été taillé (13 avril 2010) mais qui est bien souffreteux.
Vexé d'être bousculé par le vent et contraint par les humains,, il a décidé de rétablir à sa façon sa verticalité - au moyen d'un vigoureux rejet !
NB il s'agit d'un sujet à feuilles non lobées
8. 21 avril 2010 - cliquer pour agrandir |
Les feuilles poussent donc en avril
9. Cités Many Cerbère (1° avril 2011) |
10. 9 décembre 2010, cité Many. On voit que les rameaux forment une sorte d'allée couverte, par ligature d'un arbre à l'autre |
11. Rue de la Fareille, 1° avril 2011 également. Un arbre qui n'a pas été taillé cet hiver-là, dirait-on. et en automne même endroit |
13. 20 avril 2012 |
12. 17 janvier 2012 |
Les plantes à son pied ont pourtant bien moins souffert du vent glacial de février qu'en d'autres secteurs de la ville, entre la proximité de la mer et l'abri fourni par le rocher.
14. alors qu' à 200 m de là, celui du terrain de jeu a sorti ses feuilles déjà:
Voici à présent des arbres à feuilles simples, le même jour, quartier Bellevue, nettement plus en avance
15
16.
17. un jeune sujet, Rue de la Fareille 13 mai 2010, on distingue ses fruits en contrejour en agrandissant |
18.
Les fruits deviennent ensuite noirs (comme les mûres de ronces, mais plus allongés et légèrement "tordus"
et ils s'écrasent au sol où ça fait de grosses taches, ou sur tout objet présent
Je reviens au mûrier platane... son bel ombrage au plus chaud de la saison
19. 21 juillet 2011
c'est celui de la Pénétrante, taillé en hauteur... une belle tache de verdure mais personne à ombrer |
Wikipedia:
Le mûrier à feuilles de platane ou mûrier platane (Morus bombycis Koidz., synonyme : Morus kagayamae Koidz.) est un arbre de la famille des Moraceae, originaire d'Extrême-Orient (Chine, Corée, Japon, Sakhaline), introduite en Europe au début du XXe siècle.
Il est cultivé comme arbre d'ornement et d'alignement.
Le mûrier à feuilles de platane est un petit arbre, de moins de six mètres de haut, à grandes feuilles polymorphes, le plus souvent lobées. Acceptant aisément des tailles sévères, son port naturellement étalé est souvent travaillé afin d'en faire un parasol naturel.
Ses fruits sont excellents mais on utilise souvent en arbre d'alignement des variétés stériles afin de ne pas tacher les trottoirs. Les fruits tachent également les vêtements mais ils sont excellents pour élaborer des tartes. Les oiseaux en raffolent.
Fiche Rustica
lundi 18 novembre 2013
de bien beaux balcons à hirondelles
un plaisir d'entendre et observer la chasse de ces beaux oiseaux - et de leurs vagues cousins les martinets- les soirs d'été
- de savoir qu'elles sont en train d'occire moults moustiques indésirables
et aussi des fourmis volantes - qui sont parfois des termites
et on les voit ensuite s'abattre - et ne plus redécoller.
A proximité de là où s'est posée une femelle
Les propriétaires de piscine se souviendront peut-être en avoir vu leur plan d'eau couvert.
Mais ce peut être sur toute autre surface. Votre table sur la terrasse et vos assiettes....
Wikipedia:
Les hirondelles sont des oiseaux migrateurs familiers qui installent leurs nids près des habitations (traditionnellement dans les granges et étables). Ces oiseaux font partie de la famille des Hirundinidae, dont ils constituent la sous-famille des Hirundininae. Ils symbolisent traditionnellement l'arrivée du printemps, car leur retour d'hivernage en Afrique se fait dès les premiers beaux jours, pour nicher et se reproduire en Europe. Ce voyage de retour représente un périple qui peut dépasser les 10 000 km, avec pour seul carburant quelques grammes de graisse.
Dès que les petits sont autonomes, les hirondelles se mettent à préparer la migration suivante en accumulant les réserves de graisse nécessaires. Mais avant d'être autonome, chaque oisillon semble se résumer à un bec tant celui-ci est ouvert. Il attend que ses parents lui apportent de quoi se nourrir. Pour trouver toute cette nourriture, les parents parcourent en moyenne 300 km par jour ; et ce, durant trois semaines.
Comme le pigeon et bien d'autres migrateurs, l'hirondelle retrouve le lieu où elle nichait l'année précédente, lorsqu'elle revient d'Afrique. Ce qui explique peut-être qu'elle ne recolonise que difficilement les villes d'où elle a disparu, même quand les conditions de pollution ou de menaces pour elle semblent avoir diminué.
Ses effectifs connaissent une très forte régression depuis les années 1970 environ, qui tend à s'aggraver : une baisse de 84 % sur 10 ans a été répertoriée pour l'hirondelle de fenêtre (source CRBPO, sujette à interprétation, en raison de variations naturelles de populations existant également, mais jugée préoccupante par les ornithologues). Cette régression pourrait s'expliquer par la raréfaction de sa nourriture unique, les insectes volants (voir l'article pesticides, mais il est curieux de constater que des villes qui se ressemblent en ont pour certaines conservé des populations importantes alors que d'autres ont perdu leurs hirondelles). La présence de nombreux espaces boisés et d'eau dans les villes semblent des facteurs favorables.
L'hirondelle trisse.
Par ailleurs, les bâtiments modernes, aux matériaux souvent lisses (verre, acier, béton...), sont souvent moins adaptés à l'accueil des hirondelles de cheminée et de fenêtre, même si l'architecture HQE commence lentement à chercher à intégrer la biodiversité (Quinzième cible HQE) sur le bâti et ses alentours, tout en gérant les contraintes liées à la faune sauvage.
Les fientes peuvent également se révéler être un problème (souvent résolu par la pose d'un plateau sous le nid).
Les personnes tentées de détruire des nids d'hirondelles à cause des fientes, de grippe aviaire... risquent de fortes amendes car elles sont protégées au niveau européen. Les amendes varient en fonction du nid, s'il est vide, avec des œufs, des oisillons... L'amende minimum est aux alentours de 1 000 € pour un nid vide et allant jusqu'à 12 000 € avec une condamnation pour un nid habité.
Enfin, depuis 2004, les peurs suscitées par la grippe aviaire ont incité des gens à détruire des nids ou nichées.
Les élevages industriels et le traitement antiparasitaire des animaux privent aussi les hirondelles de nombreux insectes qu'elles capturaient dans les prairies ou autour des étables, porcheries et écuries où ces derniers se nourrissaient.
Eh bien justement, où nichent-elles donc, nos hirondelles? Pas d'étables par ici...
si... il y a bien la ferme-refuge Las Ocas, à laquelle je n'ai toujours pas rendu visite
mais c'est assez loin dans la montagne
A Banyuls, je connaissais plusieurs emplacements de nids. Et certes, c'est une nuisance! (les fientes)
*à l'école maternelle, sous un porche, un carton au sol résout le "problème"
*en face de l'église aussi, sous un porche qui vient d'être en travaux,
et justement... les nids ont été détruits
- je ne sais pas par qui, car la personne auprès de qui je m'en étais inquiétée pendant les travaux savait justement que c'était interdit d'y toucher.
- Et me l'avait d'ailleurs appris, ça me paraissait utile, mais je ne savais pas ce que disait la loi.
Photos 7 juillet 2011
Une autre espèce vue à Banyuls dans le lit de la Ballaurie (juillet 2012)
récolte de boue ai-je pensé - ou d'insectes? les deux peut-être, les insectes en vol, et les matériaux au sol
- de savoir qu'elles sont en train d'occire moults moustiques indésirables
et aussi des fourmis volantes - qui sont parfois des termites
il s'agit en fait de vols nuptiaux de ces insectes sociaux,
certains rares soirs d'été on a pu en voir voler dans le contrejour des nuées,
comme si toutes les colonies opéraient en même temps,et on les voit ensuite s'abattre - et ne plus redécoller.
A proximité de là où s'est posée une femelle
Les propriétaires de piscine se souviendront peut-être en avoir vu leur plan d'eau couvert.
Mais ce peut être sur toute autre surface. Votre table sur la terrasse et vos assiettes....
Au travail, les hirondelles, et bon appétit!
quelle aubaine à l'époque de l'élevage pour nourrir les petits affamés
Les hirondelles sont des oiseaux migrateurs familiers qui installent leurs nids près des habitations (traditionnellement dans les granges et étables). Ces oiseaux font partie de la famille des Hirundinidae, dont ils constituent la sous-famille des Hirundininae. Ils symbolisent traditionnellement l'arrivée du printemps, car leur retour d'hivernage en Afrique se fait dès les premiers beaux jours, pour nicher et se reproduire en Europe. Ce voyage de retour représente un périple qui peut dépasser les 10 000 km, avec pour seul carburant quelques grammes de graisse.
Dès que les petits sont autonomes, les hirondelles se mettent à préparer la migration suivante en accumulant les réserves de graisse nécessaires. Mais avant d'être autonome, chaque oisillon semble se résumer à un bec tant celui-ci est ouvert. Il attend que ses parents lui apportent de quoi se nourrir. Pour trouver toute cette nourriture, les parents parcourent en moyenne 300 km par jour ; et ce, durant trois semaines.
Comme le pigeon et bien d'autres migrateurs, l'hirondelle retrouve le lieu où elle nichait l'année précédente, lorsqu'elle revient d'Afrique. Ce qui explique peut-être qu'elle ne recolonise que difficilement les villes d'où elle a disparu, même quand les conditions de pollution ou de menaces pour elle semblent avoir diminué.
Ses effectifs connaissent une très forte régression depuis les années 1970 environ, qui tend à s'aggraver : une baisse de 84 % sur 10 ans a été répertoriée pour l'hirondelle de fenêtre (source CRBPO, sujette à interprétation, en raison de variations naturelles de populations existant également, mais jugée préoccupante par les ornithologues). Cette régression pourrait s'expliquer par la raréfaction de sa nourriture unique, les insectes volants (voir l'article pesticides, mais il est curieux de constater que des villes qui se ressemblent en ont pour certaines conservé des populations importantes alors que d'autres ont perdu leurs hirondelles). La présence de nombreux espaces boisés et d'eau dans les villes semblent des facteurs favorables.
L'hirondelle trisse.
Menaces
Les hirondelles sont des espèces protégées dans de nombreux pays, mais leur population est en régression de 30% en France et de 20% en Europe en partie à cause du réchauffement climatique mais surtout à cause de la régression ou de l'empoisonnement de leur nourriture par les insecticides et de l'altération de leurs lieux de nidification2. Il est probable qu'elles subissent aussi les effets de la pollution urbaine et il semble que lorsqu'une espèce a déserté une ville, elle n'y revienne que difficilement. Il semble qu'elles puissent aussi accumuler les pesticides, les métaux lourds, des métalloïdes et d'autres produits polluants, eux-mêmes accumulés par les insectes qu'elles consomment. Ces produits toxiques sont notamment stockés dans leurs graisses, puis relargués dans l'organisme lors de l'épuisant voyage de migration vers le sud, affectant fortement les chances de survie de l'oiseau.Par ailleurs, les bâtiments modernes, aux matériaux souvent lisses (verre, acier, béton...), sont souvent moins adaptés à l'accueil des hirondelles de cheminée et de fenêtre, même si l'architecture HQE commence lentement à chercher à intégrer la biodiversité (Quinzième cible HQE) sur le bâti et ses alentours, tout en gérant les contraintes liées à la faune sauvage.
Les fientes peuvent également se révéler être un problème (souvent résolu par la pose d'un plateau sous le nid).
Les personnes tentées de détruire des nids d'hirondelles à cause des fientes, de grippe aviaire... risquent de fortes amendes car elles sont protégées au niveau européen. Les amendes varient en fonction du nid, s'il est vide, avec des œufs, des oisillons... L'amende minimum est aux alentours de 1 000 € pour un nid vide et allant jusqu'à 12 000 € avec une condamnation pour un nid habité.
Enfin, depuis 2004, les peurs suscitées par la grippe aviaire ont incité des gens à détruire des nids ou nichées.
Les élevages industriels et le traitement antiparasitaire des animaux privent aussi les hirondelles de nombreux insectes qu'elles capturaient dans les prairies ou autour des étables, porcheries et écuries où ces derniers se nourrissaient.
Eh bien justement, où nichent-elles donc, nos hirondelles? Pas d'étables par ici...
si... il y a bien la ferme-refuge Las Ocas, à laquelle je n'ai toujours pas rendu visite
mais c'est assez loin dans la montagne
A Banyuls, je connaissais plusieurs emplacements de nids. Et certes, c'est une nuisance! (les fientes)
*à l'école maternelle, sous un porche, un carton au sol résout le "problème"
*en face de l'église aussi, sous un porche qui vient d'être en travaux,
et justement... les nids ont été détruits
- je ne sais pas par qui, car la personne auprès de qui je m'en étais inquiétée pendant les travaux savait justement que c'était interdit d'y toucher.
- Et me l'avait d'ailleurs appris, ça me paraissait utile, mais je ne savais pas ce que disait la loi.
Photos 7 juillet 2011
Une autre espèce vue à Banyuls dans le lit de la Ballaurie (juillet 2012)
récolte de boue ai-je pensé - ou d'insectes? les deux peut-être, les insectes en vol, et les matériaux au sol
la réponse,
une des réponses, sûrement, est venue par hasard, et grâce à ma petite-fille .
Nous étions descendues en ville et la pluie était arrivée. Abritées près de la mairie en attendant notre "chauffeur"
Il suffisait de lever la tête
J'ai pensé que les nids jumelés, sur cette photo et sous un autre balcon, sont peut-être à des parents et un de leurs descendants |
Je suis allée les recompter hier, d'une cage à l'autre il y a au moins 11 nids,
et je ne suis pas allée, je n'y ai pensé qu'après, regarder à l'arrière du bâtiment.
Si tous ont été occupés, ça représente beaucoup d'oisillons !
Je suis contente de voir que bâtiments modernes offrent eux-aussi des possibilités aux oiseaux.
En plus d'être "bioclimatiques" ils sont donc hospitaliers pour la faune.
J'ai été étonné d'y remarquer un goéland toujours sur la même fenêtre,
photo pas encore retrouvée...
en fait, un leurre, m'avait fait remarquer ma petite fille, toujours elle.
J'ai à l'époque pensé qu'il se veut dissuasif pour les pigeons:
vu ça aussi à Banyuls, rue du Puig del Mas, non loin d'où j'ai suivi les hirondelles.
Peut-être destiné aussi à écarter les hirondelles.
J'avoue que moi-même j'évite de nourrir les oiseaux, entre autres pour ne pas subir les nuisances dues aux pigeons (et aussi parce que ça semble déconseillé, j'avais même lu interdit sur une affiche à la Mairie de Port-Vendres),
et je n'ai pas non plus envie de planter un olivier, qui attire les étourneaux.
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